Elle réalise que le temps qui passe est ce qui nous fait grandir, mais aussi ce qui nous détruit, et que se souvenir d’un être cher est une façon de le faire exister parmi les vivants. Philomène va découvrir qu’en chacun de nous se joue un combat entre la pulsion de vie et la pulsion de mort. Elle va s’indigner des attentats terroristes et se demander pourquoi certaines personnes choisissent de mourir, par sacrifice pour les autres ou parce que leur vie n’est plus digne d’être vécue. Elle apprend aussi comment les humains ont apprivoisé l'idée de la mort pour en avoir moins peur et découvre que si on ne peut l'éviter, la mort est aussi le moyen de donner du sens à sa propre vie.