Afin d’éviter la transmission de maladies génétiques graves de la mère à l’enfant, le Royaume-Uni a autorisé en 2015 la fécondation in vitro utilisant l’ADN de deux femmes et d’un homme pour faire un embryon.
Mots-clés :
pma (procréation médicalement assistée),
grossesse,
recherche en chimie,
génétique,
mère,
mère (femme),
fécondation,
stérilité (infertilité),
gène,
genre / gender,
enfant,
eugénisme,
féminisme,
développement embryonnaire